Notre société actuelle peut se définir
comme fortement imprégnée de publicité, et striée de canaux de
communication divers. De fait elle soumet le public à une importante
concentration d’images et d’archétypes. Les
gouts et les couleurs auront beau différer entre chaque individu,
aujourd’hui plus que jamais peut-être, une certaine idée de l’esthétique
semble s’imposer. Et ça peut avoir des implications dans les relations sociales,
notamment celles de couples. En effet, qu’en est-il de trouver une
partenaire, lorsque l’on partage ses gouts avec la plupart des autres
prétendants ? En d’autres termes, que faire quand on a l’impression que
les belles filles sont toutes déjà prises ?
Qu’est ce qu’une belle fille ?
D’abord, le terme de “belles filles” est bien sur tout à fait subjectif.
Cela dépend complétement de ce que chacun attend chez l’autre. Mais de
manière générale, on peut l’interpréter comme le genre de fille qui fait
l’unanimité, que la majorité des gens remarque dans n’importe quel lieu
de sociabilité. Ensuite, la réponse est en fait simple. Toutes les
jolies filles ne sont pas prises. Par contre bon nombre d’entre elles
disent qu’elles sont prises. Et c’est assez compréhensible, elles sont
bien plus sollicitées que d’autres, du fait des modèles esthétiques que
la société véhicule. Il reste donc à la fois un espoir, mais également
des obstacles dans la quête de la “belle fille”.
Comment les atteindre ?
Le problème des belles filles, c’est qu’elles sont prises entre deux
feux, d’où leur besoin de se protéger. Soit elles sont sollicités, mais
pour des raisons purement physiques, soit elles impressionnent trop des
types de caractères qui n’osent prétendre à “jouer dans cette ligue”. Ce
sentiment peut se comprendre, mais il y a tellement de contre-exemples.
Jennifer Lopez a beau avoir connu le so-called bad boy Puff
Daddy, ou le si confiant Ben Affleck, c’est bien avec le petit Marc
Anthony qu’elle est restée le plus longtemps. Kevin James avait du mal à
séduire dans Hitch, dans la vie c’est la sublime Steffiana de la Cruz
qui l’accompagne.
Les belles filles ne sont donc pas toute prises. Mais filles avant
d’être belles, elles ne peuvent pas qu’être considérées comme des
objets.